Ce bulletin d’information et de formation donne voix aux pratiques paysannes qui aident le paysan agriculteur/éleveur à faire face aux difficultés de la production aussi bien animale que végétale ; c’est-à-dire pallier essentiellement aux problèmes de baisse des rendements agricoles, aux maladies humaines et animales .
Le grand avantage de ces pratiques paysannes est qu’elles demeurent inoffensives vis-à-vis de l’environnement;
car aujourd’hui, le souci de préservation des biodiversités et les problèmes de perturbations climatiques liées aux
activités anthropiques s’imposent dans toute logique de développement durable.
Cette logique se reflète nettement dans les résolutions de la Conférence de Paris sur le Climat COP 21 (du 30 au 11 décembre 2015) qui insistent sur la nécessité de rendre la planète plus verte, en Dans ce numéro promouvant des pratiques qui maintiennent les écosystèmes et réduisent les pollutions tout en assurant la survie de l’humanité.
Dans les sociétés africaines, les pratiques traditionnelles ont longtemps permis aux paysans de préserver la nature tout en assurant une stabilité de leur cadre de vie.
Ces pratiques sont essentiellement agricoles (agriculture et élevage) mais également nutritionnel les (diversité
alimentaire).
Le présent numéro revient essentiellement sur ces pratiques qui de nos jours semblent être la réponse effective aux problèmes environnementaux, nutritionnels et socio-économiques de nos communautés rurales à cheval sur la modernité et le traditionnel.
